Aiguillon de nos jours, ville d'histoire et de culture
Ce passé prestigieux n'a pas condamné Aiguillon au sort d'une belle
endormie, puisque la ville a fait de ses vestiges des atouts pour son
avenir : le château des ducs abrite un lycée depuis 1965.
Dépouillé de son mobilier, de ses boiseries, de ses tableaux, il avait fait
dire au poète Jasmin : "A Aiguillon, il y a un château qui pleure".
En 1975, ce lycée prit le nom de lycée Stendhal. Cette dénomination fut
attribuée au bâtiment scolaire en raison d'une phrase écrite dans
Le Rouge et le Noir : "Nous irons nous retirer au château d'Aiguillon,
entre Agen et Marmande. On dit que c'est un pays aussi beau que l'Italie".
L'ancien Parlement est devenu depuis 2001 la médiathèque du Confluent,
un outil culturel de premier plan au service de tous.
L'ancienne chapelle du Lot a été transformée en un musée, le musée Raoul
Dastrac, très vivant, et dont les expositions font la fierté des aiguillonnais.
Enfin, la tour gallo-romaine "la Tourasse", récemment restaurée, se distingue
parmi les divers monuments de la ville.
Depuis 1958, Aiguillon est jumelée à la ville de Visé en Belgique.
Tous les 5 ans, Visétois et Aiguillonnais se retrouvent dans l'une ou l'autre ville
jumelle autour de nombreuses manifestations variées.
Nous vous conseillons un site internet, réalisé par Monsieur LAVIE, sur l'art
dans l'histoire d'Aiguillon : http://aiguillon47.pagesperso-orange.fr/